Thomas Dauge a écrit : ↑ven. 08 décembre 2017, 17:32
Je n'ai jamais vu de guitare vendue sans vernis, ce serait rapidement un désastre esthétique.....
Il y a eu une mode de table passée à la cire légère ======= façon luth si je ne Mabuse
Et puis la tradition des "vernissages à l'huile" ==== je dis comme je peux, il doit y avoir un mot pour le dire comme il faut.
Celles que j'ai vues avaient une très belle matière satinée mais si on a laissé de côté cette technique, ce n'est pas sans raison.
Pour en revenir à la question de l'embryon de tornavoz, un peu comme nous aurions un embryon de queue - ce que je dis là est attesté "politiquement correcte", je décline toute responsabilité si il y a déviance interprétative où coule le crime moral et la misère intellectuelle.
Comme Valère le certifie plus haut, il n'y pas l'once d'un grammage de critique dans l'interrogation que soulève la présence inaccoutumée de cet appendice en bord de bouche... lippeux mais caché... oui, une sorte le lipogramme de tornavoz...
Valère me disait pas plus tard qu'il y a un dixième de seconde qu'il lui avait toujours paru que les guitares au son très libre qu'il affectionne avaient des tables très peu retenue alors que choisie dans un bois peu dense et table souvent très fine. Il a une Manuel de la Chica qui lui sert de lampe de chevet à partir de 18h heure d'hiver tant la table est diaphane.
Je partage avec lui une absence - celle d'un goût pour le tornavoz non coupé... sauf s'il est en bois. Mais c'est aussi parce que j'en vois bien la fonction et l'efficacité. Là, je pose la question au luthier et au concepteur auquel il obéit : quel apport cette soudaine tension à bord de bouche apporte-t-elle ?
Valère bouche bée quêtant réponse